Une fois le combi rendu à Paisley, et une nuit à Glasgow, direction la gare centrale pour prendre le train d’Edimbourg: une heure plus tard, je suis à destination.
Dernière étape : vieilles pierres, arrière-cours et charme victorien.
La première chose que l’on remarque en arrivant est le parc au coeur de la ville, le « Princes Street Gardens ». De part et d’autre se situent la nouvelle ville et la vieille ville avec le château d’Edimbourg.
Ce qui me choque immédiatement, c’est l’affluence touristique dans la vieille ville. Le nombre de boutiques qui vendent des souvenirs sont, pour moitié, tenues par des asiatiques. Je déchante rapidement mais les vieilles façades et les arrière-cours font un peu passer la pilule.
A l’est de la vieille ville, se trouve le palais de Hollyrood, à l’origine un monastère, qui était la résidence principale des rois et reines d’Ecosse et qui est la résidence secondaire d’Elisabeth II lorsqu’elle séjourne en Ecosse. Dominant le palais et surtout toute la ville, se trouve Holyrood Park avec en son centre une colline ressemblant à un lion couché (sous un certain angle paraît-il) et appelée le « Siège d’Arthur ». Apparemment, il s’agirait d’un très très vieux volcan.
Au nord du quartier Holyrood se trouve un autre parc : « Calton Hills » avec une tour immanquable : le Nelson Monument. La vue depuis la tour (ou même le parc) est remarquable avec une vision plongeante à travers Edimbourg avec la « Princes Street » et l’incontournable hôtel de luxe victorien : le Balmoral.